Présentation Ender

Lup je m'appelle Nicolas (Nico pour faire plus court). J'ai 21 ans et j'habite à Paris.
Sinon j'aime la SF/héroic fantasy et les mangas.

Sur karma j'étais un hp du nom de Ashen d'abord chez Destiny Guardians puis chez MoOn/KnB/Wyrd et après un stalk du nom de *Ender* gm de Dragon Army.

voila vous me connaissez par coeur ^^

Veut-ce dire qu'on aura pas les DA sur Ero ? :o

question purement innocente, au début, Dragon Army était allié aux Undying Angels, pourquoi avoir break ally ? (c'est purement à titre informatif :D)

Welcome =D

Bienvenue

yop°° bienvenue

Merci ^^ et oui pas de DA sur eRO.

Sinon ouai au début je me suis fait abordé par Orph qui voulait absolument des alliés en woe alors que ma guilde était une guilde secondaire faisant les woe du dimanche uniquement (j'étais MoOn à ce moment). Bref après 2 woe je me suis dit qu'on aurait plus de résultats en faisant les woe solo. En plus Orph avait une mauvaise expérience des woe et des guildes. Alors tout lui expliquer ça m'a gavé un peu.

ah ah, oui, Orph est trop nul
Ils faisaient nawak et ca guilde avec

sinon, bah alors Ashen, je te connaissais beaucoup plus bavard (omg l'histoire d'Ashen en 20 chapitre sur notre fofo )

Pour ce qui est des DA, bah... Ender avait juste consulter personne avant de faire ce choix mais comme vous voyer certain suive.
ps: a oui, c'est pas ma place, mais comme j'ai le droit

Bon eh bien ... Voici les Aventures de Ender ^^

Je m'escuse deja des post les un à la suite des autres mais c'est pour séparer les chapitres.

Avant propos: nom des personnages sur les serveurs.
DIM: Ender, LK 94/6X
Karma: Ashen: HP 99/70 *Ender*: Stalk 98/70

Chapitre I : La découverte du monde de Midgard

Né en l’an de grâce 1987 dans la ville de Payon, de père bûcheron alcolo et de mère

prostituée, je vécu dans la misère toute mon enfance, car délaissé par mes deux parents.

Je perdis mon père à l’âge de 5 ans, celui-ci ayant tellement cuvé qu’il essaya de

s’envoler du haut de la plus haute tour de Payon. Le trou qu’il fit dans le pavé et le chat

écrasé à l’intérieur sont aujourd’hui encore visibles. Ma mère, ne voulant pas de moi, me

laissa livré a moi-même, dans la misère de Payon. La journée, je mendiait sur la place du

marché à coté des marchands. Je me faisais d’ailleurs souvent maltraiter par ceux-ci, car

je nuisais à leur commerce, du fait de mon odeur pestilentielle et de mon apparence de

mourrant en putréfaction. Le soir, j’errait dans les ruelles sombres de la ville, à la

recherche d’une poubelle richement garnie où j’aurais pu me restaurer, puis je cherchais

un coin de rue inoccupé pour passer ma nuit. Parfois le lendemain je découvrais un

chient ou un chat mort à coté de moi. C’était un jour de chance car cela faisait un

excellent repas pour la journée. Je conservais alors les tripes dont je raffolais, pour les

déguster plus tard. Puis vint le jour où ma mère me vendit à un marchand pervers et

malhonnête afin de pouvoir compléter ses fins de mois. J’étais alors âgé de 5 ans et 3

mois. Celui-ci me garda un peu plus de 2 années avec lui, deux années durant lesquelles

je m’occupais de faire les poches des acheteurs potentiels. En échange de cela, il me

permettait de manger ses restes et de dormir avec les chiens. Par ailleurs, je reçu durant

ces deux ans une partie de l’éducation qui a fait de moi ce que je suis aujourd’hui :

j’appris les ficelles du voyeurisme et de la perversité, ainsi que les secrets de l’arnaque.

Puis m’accusant de l’avoir volé, il m’expulsa dehors. Mais je ne restais pas longtemps à

manger des chats morts cette fois ci, car je fus alors recueilli par les prêtres de Prontera

à l’âge de 8 ans, où je reçu une éducation religieuse et appris les lettres jusqu’à mes 16

ans. Bien que peu intéressé par l’existence d’un éventuel Dieu, je profitais néanmoins de

la situation dans laquelle j’étais : je ne manquais plus de rien. De plus mes pulsions

d’adolescent avaient tout le loisir d’être satisfaites grâce au grand nombre de femme

priest présentes dans le monastère où je vivais. Mais malheureusement de nouveau je

me fis jeter dehors, car on s’aperçut que de nombreuses priest étaient enceintes. Je

décidais alors de m’engager dans l’armée. Etrangement, je trouvai enfin la place qu’il me

fallait : l’atmosphère virile qui y régner m’enivrais, et j’était devenu accro au goût du

sang que l’on a dans la bouche après une bonne baston et une oreille arrachée à coup de

dent. Bref la vraie vie. Je gagnais ainsi le doux diminutif d’Ender, pour avoir, lors d’un

combat mutilé entièrement mon adversaire en lui arrachant à mains nues la totalité de

ses membres. Mes hauts exploits me promurent au rang de chevalier. C’est alors qu’un

hommes que j’admirais beaucoup, car ayant la même passion pour les chats morts que

moi, me proposa de rejoindre sa compagnie : les mugenjo_warriors, dont le principal but

était la totale destruction des autres. Je trouvais une atmosphère de gaîté où le sang

coulait à flot et où la notion d’être humain n’avait plus de sens. Mais cette fois ci, je

décidais de quitter moi-même cette formidable guilde, afin de créer la mienne. Je

devenais alors le Chevalier Errant Ender. Je créais donc une compagnie, que j’intitulais

Dragon Army. Le recrutement fut long et difficile, car la condition pour parvenir à y

entrer était de me toucher une fois. Malgré cela, la guilde se remplit petit à petit. Puis je

me remémorer mon mentor, celui qui m’avait tout appris des tueries : le seigneur

Jackall, et je le contactait afin de fusionner nos deux guildes sous une même bannière :

Dragon Army. Celui-ci accepta, mais ne faisant pas exception à la règle, il devait me

toucher au moins une fois pour y faire entrer ses guildiens et lui-même. Mon orgueil en

pris un gros coup, car Jackall me transperça de part en part alors que j’allais lui porter le

coup de grâce. Ayant tout deux échappé à la mort, je l’acceptais avec joie dans ma

guilde, ainsi que ses guildiens, et lui accordait le titre se sous capitaine. Nous décidâmes

alors que DIM devrait soit se soumettre à nous, soit être détruite.

Chapitre II : La recontre avec l'homme qui changea ma vie

Bien évidemment, je ne connaissais pas encore à ce moment la celui se nomme le Chevalier

Azn. Je fis sa connaissance sur l’île de comodo, une petite île paradisiaque peuplée de

mignons petits phoques qui vous bouffent dès que vous avez le dos tourné. Bref, j’étais en

train de massacrer du seal tranquillement lorsqu’un knight ayant une bonne tête m’interrompit

dans mon art en me demandant mon lvl. Je lui répondait et lui demandait le sien à son tour.

J’étais nettement au dessus de lui. Puis je le vis repartir. Quelques minutes après il revint vers

moi et me demanda de nouveau mon lvl. Je lui redenais le même qu’avant et me demandait

pourquoi il ne voulait pas aller jouer au chevalier ailleurs et me laisser en paix dans ma chasse

au seal. Mais comme s’il avait lu l’opposé de mes pensées il continua è converser pour aboutir

finalement sur le fait que l’on ne progressait pas beaucoup en tuant des seals. Intéressé, je lui

demandais s’il connaissait un meilleur endroit pour xp et, tout content de pouvoir m’aider il

m’indiqua que l’île de la tortue était un lieu bien plus excitant que la plage de comodo. Je le

remerciais et le laissais la, aillant autre chose à faire que de perdre mon temps à discuter avec

un chevalier aussi faible que lui. Malheureusement je le retrouvais le lendemain de nouveau a

la plage, et à mon plus grand malheurs (oui je me répète) il vint vers moi et oh quel hasard me

demanda mon lvl. Je n’avais pas beaucoup progressé, mais lui étais arrivé à mon niveau, ce

qui me troubla profondément. Jamais je n’aurais pensé qu’un tel raté pouvait devenir aussi

puissant que moi en si peux de temps, ce qui me fit d’ailleurs réviser mon jugement à son

égard. C’est ainsi que petit à petit je me liais d’amitié avec cet étrange chevalier, toujours

joyeux même dans la mort. J’appris qu’il était le gm d’une guilde assez récente et je lui

souhaitais de mieux réussir que moi (ma guilde ayant quelques difficultés pour survivre) avant

de partir pour un long voyage à travers Midgard. A mon retour à Prontera, ville éternelle et

resplendissante de beauté, je me rendis compte que ma guilde n’avais plus lieux d’être, car

mes hommes étaient devenus las de

toutes les tueries et massacres que je menais avec eux. C’est ainsi (aussi pour des raisons

personnelles) que je décidais de dissoudre l’armée dont j’avais été si fier de créer et de diriger.

Mais être un chevalier errant ne me convenais plus, et je me remémorais une proposition

qu’un ami m’avais un jours faite. C’est ainsi qu’au lieu de partir chacun de notre côté, le

chevalier Azn me proposa de faire fusionner nos deux guildes, ce que j’acceptais avec

plaisir. A partir de ce moment la je compris que grâce à sa précieuse aide et à celle de ses

formidables guildiens mon rêve de conquérir Midgard pouvais de

nouveau se réaliser.^^

Chapitre III : La fin des Destiny Guardians de Dim

Au fur et à mesure que les mois passais, les Destiny Guardians deveneaient de plus en plus

puissant. Cependant, bien qu'Azn le breaker fous vagabondait joyeusement entre les différents

châteaux et les prenait tous, Ender avait un bien grand mal à organiser la guilde pour les

défense et surtout à se faire obéir. Les guildiens étaient vraiment des bons à rien qu'il fallait

dresser après tout. Les fiers guildiens de la Dragon army qui m'avaient suivis chez les Destiny

Guardians étaient tous dévoué entièrement à mes ordres et à mes moindres caprices sexuels

(Titi et Fitz). Cependant ils étaient bien peu nombreux face à la masse de Destiny Guardians

originels n'étants rien de plus que des enfants imbus de leurs personne qui n'avaient jamais

touché une épe de leur vie et n'ayant pas la moindre dévotion envers la guilde. Et cela amena

bien évidament à la trahison : l'homme qui ne jouait que la nuit et que tout le monde apelait

Tonton Fei nous abandonna avec peu de raisons valable. Le sorcier qui étaient devenu

spécialiste en critique littéraire (Mits) nous abandonna aussi (mais ce n'était finalement pas

une grosse perte). Enfin et c'est le pire qui ariva, Pti Elfe notre soigneur préféré qui ne

participait jamais aux woe car ça le soulait (notre unique high priest) nous lacha à son tour

pour une guilde du nom de Zen, spécialisée parait il dans la recherche du nirvana. Ce que je

pus observer de cette guilde durant les woe, c'est qu'un bon coup d'épée dans le cul leur faisait

effectivement atteindre le nirvana très rapidement. Ainsi les Destiny Guardians perdaient au

fur et a mesure de l'effectif. Mais en plus des mes malheurs dus à ces sale geek que je voulais

trucider pour nous avoir laché comme des xxxxxx (à vous de deviner), une catastrophe ariva.

Certains la nomèrent communément fin du monde. Les plus faibles n'urent pas le temps de la

nommer car ils furent tué rapidement. J'ai retrouvé l'autre jour un écrit du célèbre Ashen-

Sugar dit le Sucre qui raconte à la perfection pourquoi le monde de Midgrad disparu.

Chapitre IV : La fin de Midgar et des Destiny Guardians

Voici le récit de la dernière bataille de l'humainté, qui fit sombrer Midgard:

Une nappe de brouillard avait recouvert l’horizon, et une pluie épaisse et pénétrante tombait

sur le sol. L’obscurité était tombée sur la grande plaine où se tenaient face à face dans un

terrible silence, les deux armées prêtes à se battre, ne laissant pour seul son, que le bruit

faisant la pluie au contactes des armures. Sur le front, les hommes brandissaient lances, épées

et boucliers, dans l’attente d’un corps a corps sanglant, comme il en eu lieu lors de toute

période barbare.

Mais à l’arrière, l’affrontement s’annonçait différent. Les combattant n’étaient pas armés et,

pour la plupart, étaient vêtus de longues et larges robes noires, beiges ou blanches. De grandes

capuches dissimulaient à moitié leur visage. Il s’agissait des mages, qui maîtrisaient mieux

que quiconque l’usage de la force provenant de la mana. Contrastant avec l’exaltation

malsaine et l’apparente bestialité des unités du front, ils se tenaient côte à cote dans

l’immobilité la plus total. De bref coup de vent glacé laissaient entrevoir une forte lumière

émanant de leurs regards, scrutant l’ennemi. Et lorsque l’assaut fut donné par le son des

cornes raisonnant dans toute la plaine, que des hurlements jaillirent de millier de poitrine de

part et d’autre de la zone de contacte, ils ne bougèrent pas, comme absorbé dans une profonde

méditation.

Il n’y eu d’abord qu’une mêlée confuse et sonore de cris et de bruits métalliques. Les fers

s’entrechoquaient les hommes tombaient et les mages demeuraient tous en retrait, dans la

même posture.

Soudain, quelque chose sembla déchirer l’air dans un vacarme assourdissant. Une ou deux

secondes de silence suivirent. Une lueur rouge intense s’empara du ciel, et les hommes,

aveuglés cessèrent l’espace d’un instant le combat, les yeux rivés vers les cieux.

Les nuages devinrent flamme pour laisser passer une gigantesque boulle de feu qui sillonna le

champ de bataille. La déflagration que créa sa collision avec le sol mit a terre quelques

centaines d’hommes, brûlés vif a son contacte. Et ce ne fut pas la seule. Cependant, à la

seconde boule, l’armée adverse ne se laissa plu surprendre, et avant que le projectile pu

atteindre son objectif, il parut se heurter a un mur invisible et se désintégra aussitôt. Cet

explosion inattendue laissa sous le choc les deux armées. Les mages avaient enfin pris part au

conflit, et la batail pris une autre envergure.

Se sachant sous la protection magique, le front repris le corps à corps avec une ardeur

redoublée.


Tel fut le quotidien de sept siècles d’affrontement. Les capitales humaines tombèrent ainsi

une par une. Mais hélas, cette guerre ne s’acheva pas par une paix, mais par un gigantesque

cataclysme. Peu de gens savent aujourd’hui ce qui ce passa réellement. Certains récits parlent

d’un vent aussi froid que la mort, d’autre affirme que la nature elle-même s’est mise en colère

afin de mettre un terme cette folie. Il y eu alors comme une extinction de la race humaine et le

monde se mis à se désagréger petit à petit. Les continents devenaient poussière, les océans se

déchaînaient, et des monstres gigantesques envahissaient les dernières citées humaines encore

debout. L’infime nombre d’humain qui étaient encore vivants décida de quitter ce monde

avant qu’il ne soit entièrement détruit, et avec leurs dernières forces et en les conjuguant

toutes ils parvinrent à créer un passage vers un nouveau monde : Karma

Chapitre V : Karma, l'heure de gloire, et voyage vers Dollcevita

Karma ! Quel magnifique monde. C'est ce que nous croyions tous l’orsque nous arivames par

le passage temporel crée sur Dim. Au fur et à mesure des années nous réussimes à

reconstruire les Destiny Guardians. Nous n'étions plus que 4 Destiny Guardians survivants au

départ (Azn Titi Fitz et moi), mais quelques temps après nous retrouvames des guildiens qui

avaient réussis à survire par leur propres moyens. Ainsi la guilde commenca une heureuse

période où elle parvenaient à garder quelques fois des chateaux, preuve de sa puissance. Mais

la guilde ne ne fut à son apogée qu'avec l'alliance des 4, qui regroupait les Deadly Style, les

Nemesis, et les Eclipse. Cette alliance était crainte par dela les terres et les mers de Karma, et

parvient à obtenir de nombreux chateaux possédants des salles de trésors remplies de

merveilles (que les guildien ne virent jamais tellement Ender étaient un crevard). Or, un jour

ariva où une faible rumeur atteint mes oreilles, et disait que de puissants sorciers qui étaient

surnommés les gm de Dim avaient réussis à restaurer le monde de Midgard, en le rattachant à

un autre monde du nom de Dollcevita. Cette nouvelles entraîna un remus ménage important

sur tout le continent de Karma, et de nombreuses guildes décidèrent de retourner dans leur

monde d'origine. C'est ainsi que les Destiny Guardians, ayants explorés et surmontés toutes

les difficultés du monde de Karma décidèrent de rechercher de nouveau de l'aventure en

retournant sur ce nouveaux monde résultant de la fusion de deux monde parrallèle (owii

Sliders). Presque tous les guildiens décidèrent de tenter leur chance sur Dollcevita. Ainsi les

Destiny Guardians étaient de nouveau présent sur leur terre d'origine, et leur but d'origine leur

revint à l'esprit.

NOUS CONCQUIERERONT DOLLCEVITA PAR LA FORCE DE L EPEE !!!!!!

Chapitre VI : La désillusion de Dollcevita

En cours xD

Chapitre VII : Retour sur Karma et fermeture du serveur.

En cours ^^

Chapitre VIII : La dernière aventure de Ender: Eternity

En cours =)

J'ai retrouve mon Ender